Descriptif des œuvres
Je développe et diffuse actuellement deux œuvres
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Télégraph
Initié en 2012
Développé en auto-financement
Télégraph est un dispositif d’écriture numérique qui propose de redécouvrir, de se réapproprier le paysage urbain. Il s’agit d’un dispositif capable de surligner la ville permettant au public de mettre en valeur les qualités de son espace d’exploration, au-delà de sa vision quotidienne.
Reposant sur la notion d’expression libre, ce dispositif vise à re-focaliser l’attention et à placer le passant en position d’acteur. Son insertion dans l’espace public est un geste d’appropriation de l’espace commun. Vecteur d’expériences collectives et de dialogue, Télégraph propose des actions graphiques localisées et ponctuelles visant à créer une rupture dans le quotidien urbain. Elle invite le public à renouveler notre rapport à l’espace, à l’architecture, au paysage et provoque des moments de sociabilité et de découverte.
Quatre personnes peuvent prendre part au dispositif par le biais d’interfaces numériques. Outil d’expression graphique, Télégraph permet de tracer des traits de lumière dans l’espace public, l’utilisateur est libre de l’employer pour constituer des signes, du texte, des dessins ou encore des aplats de couleur.
Géométries Variables
Initié en 2017 durant Watch this space #9
Soutenu par 50°Nord, Fructôse, Vecteur et Welchrome
Géométries Variables propose une expérience immersive et interactive au sein d’un espace intérieur ouvert au public. Il s’agit de l’exploration d’un espace aux contours variables, sans cesse modifié par les actions volontaires des visiteurs. Cet espace malléable propose une expérience collective basé sur la coopération. L’œuvre engage pleinement le corps et l’esprit du public et les place au cœur d’une expérience sensible.
Porteur d’imaginaire, cet espace est créé par les actions conjuguées des participants: après s’être saisis d’interfaces numériques, ils se déplacent et agissent concrètement sur les contours de leur espace physique par un jeu de construction et de déconstruction. Dans une esthétique minimaliste, la lumière se fait matière. Elle arrête ponctuellement le regard des participants sans arrêter le corps, elle cloisonne sans séparer, puis réunit. Par le biais d’un système d’optiques et de lumière, le dispositif met en mouvement les participants amenant la création d’un espace commun sans cesse renouvelé.
En pratique, des structures verticales équipées de réflecteurs sont placées au sein de l’espace d’exploration et créent un jeu de renvois optiques. L’installation est librement pilotable, le public les active tout en se déplaçant dans l’espace.